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  • Bösendorfer pianos

    Les Grandes Marques

    Bösendorfer

    Autriche

    Bösendorfer est une marque de pianos fondée en 1827 à Vienne en Autriche. Ignaz Bösendorfer (1794-1859) créa sa fabrique en 1827. En juillet 1828, il obtient de l'empereur d'Autriche un décret pour « fabriquer des pianos et les vendre, par droit de citoyen et de maître ». Son plus grand succès reste la fourniture à Franz Liszt d’un piano à queue « robuste à la belle sonorité » pouvant résister au jeu du pianiste connu à l’époque pour détruire les pianos viennois par ses performances de virtuose. Sa manufacture acquiert une notoriété mondiale avec le soutien du pianiste. Son fils Ludwig lui succède en 1860, ouvre une nouvelle usine avec magasin d’exposition dans le centre de Vienne au Palais Lichtenstein ainsi que la grande salle de concert Bösendorfer dans l’ancien manège à chevaux qui deviendra par la suite un haut lieu culturel de la ville. La crise des années 30 atteint grandement la production de l’entreprise qui ne produit plus que quelques centaines de pianos puis la guerre mondiale détruit les stocks de bois et l’usine. Une petite production reprend dans les années 50. Rachetée ensuite par Kimball l’exploitation bénéficie du soutien du géant américain. Le Bösendorfer modèle 290, dit « Impérial », demeure aujourd'hui un modèle emblématique de la marque, puisqu'il comporte 97 touches au lieu des 88 présentes sur les pianos de concert normaux. Ce clavier plus large comportant huit octaves complètes (do 0 à do 8), est le seul à permettre d’interpréter fidèlement certaines œuvres de Bartok, Debussy, Ravel et surtout Busoni. C'est le son particulièrement orchestral que lui confère sa table d'harmonie particulière, qui lui a valu dès sa sortie le surnom d'« Impérial », qui n'avait pas été initialement donné par la marque. Bösendorfer est aujourd'hui détenu entièrement par la marque japonaise Yamaha.


    www.boesendorfer.com

    Bösendorfer

    Autriche

    Bösendorfer est une marque de pianos fondée en 1827 à Vienne en Autriche. Ignaz Bösendorfer (1794-1859) créa sa fabrique en 1827. En juillet 1828, il obtient de l'empereur d'Autriche un décret pour « fabriquer des pianos et les vendre, par droit de citoyen et de maître ». Son plus grand succès reste la fourniture à Franz Liszt d’un piano à queue « robuste à la belle sonorité » pouvant résister au jeu du pianiste connu à l’époque pour détruire les pianos viennois par ses performances de virtuose. Sa manufacture acquiert une notoriété mondiale avec le soutien du pianiste. Son fils Ludwig lui succède en 1860, ouvre une nouvelle usine avec magasin d’exposition dans le centre de Vienne au Palais Lichtenstein ainsi que la grande salle de concert Bösendorfer dans l’ancien manège à chevaux qui deviendra par la suite un haut lieu culturel de la ville. La crise des années 30 atteint grandement la production de l’entreprise qui ne produit plus que quelques centaines de pianos puis la guerre mondiale détruit les stocks de bois et l’usine. Une petite production reprend dans les années 50. Rachetée ensuite par Kimball l’exploitation bénéficie du soutien du géant américain. Le Bösendorfer modèle 290, dit « Impérial », demeure aujourd'hui un modèle emblématique de la marque, puisqu'il comporte 97 touches au lieu des 88 présentes sur les pianos de concert normaux. Ce clavier plus large comportant huit octaves complètes (do 0 à do 8), est le seul à permettre d’interpréter fidèlement certaines œuvres de Bartok, Debussy, Ravel et surtout Busoni. C'est le son particulièrement orchestral que lui confère sa table d'harmonie particulière, qui lui a valu dès sa sortie le surnom d'« Impérial », qui n'avait pas été initialement donné par la marque. Bösendorfer est aujourd'hui détenu entièrement par la marque japonaise Yamaha.